Notre histoire
Depuis le 6 décembre 1957, le CGFL accompagne et recherche dans la lutte contre le cancer.
Le CGFL est à vos côtés.

Naissance du CGFL
Au milieu des années 50 germe l’idée d’ouvrir un centre de lutte contre le Cancer dans la capitale bourguignonne.
Le projet est confié au Pr Ferdinand Cabanne, alors responsable de l’enseignement de l’anatomie pathologique à l’École nationale de médecine de Dijon. Le 6 décembre 1957, un conseil d’administration est constitué par le préfet, qui en devient président conformément à l’ordonnance de 1945. Le Pr Cabanne va jouer le rôle de concepteur et coordinateur du chantier, avant d’être nommé directeur de l’établissement.


Les 1ers
CLCC
En 1921, la Fondation Curie est créée et l’Assistance Publique de Paris met en place six services de traitement du cancer. En 1922, le Ministre de l’hygiène institue une commission du cancer. Un an plus tard, un budget spécifique est alloué aux hôpitaux pour l’appareillage destiné à la lutte contre le cancer.
Au cours des années 20, 14 centres spécialisés vont voir le jour.
Le 1er octobre 1945, une ordonnance du Général de Gaulle définit précisément l’organisation des Centres de Lutte Contre le Cancer, en accordant l’autonomie de ces structures, les érigeant en établissements privés ayant la capacité d’utilité publique.
Il existe aujourd’hui 20 Centres de Lutte Contre le Cancer en France, référents régionaux de la cancérologie. Répartis dans 17 régions, ils sont regroupés en une Fédération nationale, Unicancer.
Historique des lieux
En 1960, le Centre hospitalier de Dijon vend 14 000 m² de terres et jardins qui accueilleront le Centre de Lutte Contre le Cancer. L’avant-projet prévoyait: 3 millions de francs d’équipement et 7 millions de francs de travaux. Le financement se composait à: 60 % de subventions de l’État (Ministère des affaires sociales), 20 % de la Caisse régionale de Sécurité Sociale, 10% du Département et 10% de la Ville de Dijon. Le coût définitif sera de 9 millions de francs.
A l’origine, le bâtiment à construire répond aux critères suivants :
– une structure de quatre étages et deux sous-sols
– parallèle et relié au centre hospitalier tout proche par une galerie souterraine de 180 m de long
– une superficie totale de 7000 m².
Avec une capacité de 100 lits sur trois unités d’hospitalisation, on espère recevoir 25 % des malades allant à Lyon ou Paris.

Dates clés
En hommage au médecin dijonnais qui fut un des pionniers de la recherche
anti-cancéreuse dans le département et fondateur de la Ligue Bourguignonne Contre le Cancer.
…dans le seul service de radiothérapie de la région.